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De la cigarette à la Pipe Sacrée 3 : Une porte s’ouvre doucement

Dernière mise à jour : il y a 6 jours

 Cet article fait partie d'une série consacrée à la transformation du lien au tabac et à la rencontre avec la pipe sacrée. Tu peux lire les articles précédents : De la cigarette à la pipe sacrée : mon chemin avec le Tabac et : De la cigarette à la pipe sacrée 2 : entre les mains de l’invisible

À la lueur d’un feu sacré, des Anciens Hopis se rassemblent dans le désert rouge, devant le Rocher de la Prophétie. Gravé de symboles lumineux et vibrants, le rocher semble s’animer, révélant des visages d’ancêtres, des totems et des spirales d’énergie. Dans le ciel, la constellation de Cassiopée veille, reliant le visible à l’invisible. Ce dessin d’art visionnaire évoque la sagesse transmise, le lien profond entre les peuples premiers et les étoiles, et l’appel à suivre la voie du cœur, en harmonie avec la Terre.
Les gardiens

L’écoute d’un aîné

 

Une semaine plus tard, alors que je me trouvais face à une impasse, Jim Tree m’écrivait. Il avait reçu mon message, connaissait des Hopis, et souhaitait me parler, prendre le temps d’un échange en visio.

 

C’était inattendu.

 

Depuis des mois, je lançais des appels dans le silence, comme des bouteilles à la mer. Rien. Aucun retour. Le désert. Et puis, ce jour-là, alors que je me sentais au bout d’une route sans issue, une réponse. Son message était simple, direct, mais chargé d’une bienveillance étonnante. Il m’ouvrait une porte.

 

Ce fut comme une bouffée d’air après une longue apnée.

 

Mon cœur s’est mis à battre fort. Je me suis alors assise, les yeux embués, en chuchotant un simple : merci.

Ce n’était pas seulement une réponse.

C’était une invitation.

Un passage.

 

Nous convenons d’un rendez-vous pour la semaine suivante. D’ici là, je me plonge dans son livre, La voie de la Pipe sacrée, que je veux avoir terminé avant notre rencontre.

 

Quand le jour du Zoom arrive, une légère nervosité m’habite. J’allume l’écran. Et là, je découvre un homme simple, sans artifice, au regard doux et attentif. Il me salue avec chaleur, sans aucune formalité. Très vite, je me sens en confiance.

 

Il parle avec cette clarté tranquille des êtres qui n’ont plus rien à prouver. Chaque mot est pesé, habité, sans chercher à convaincre. Il ne transmet pas un savoir, il partage une présence. Son humilité me touche profondément, une humilité vraie, celle qui naît de l’expérience, des épreuves traversées, et des silences accueillis. De ceux qui savent que la sagesse ne s’impose pas : elle se dépose doucement, quand le cœur est prêt.

 

Nous parlons longtemps. Des Hopis, de Grandmother Medicine Song, de la Pipe Sacrée, de ce que j’ai ressenti lors de la cérémonie. Il m’écoute avec une attention entière, sans interrompre, sans jugement. Je sens que je peux être pleinement moi, avec mes questions et mes doutes. Tout peut exister là, dans cet espace de respect et de vérité.

 

Il ne me propose pas de me fabriquer une Pipe Sacrée, ni de m’enseigner le chemin de la Pipe Sacrée. Il ne donne aucune méthode, aucun raccourci. Il me dit simplement : appelle ta Pipe. Visualise-la. Invite-la. Ces mots, me rappeler étrangement ceux de Grandmother Medicine Song.  Cette fois, ils n’étaient plus tintés de déception mais ils portaient une clé que l’on trouve au fond de soi.

 

Je comprends alors que rien ne viendra de l’extérieur. Que ce chemin demande patience, foi et écoute. Que l’appel doit venir de l’intérieur, encore et encore, jusqu’à ce que la réponse se manifeste. Pas parce que je la veux, mais parce que le temps sera venu.


Entre confidences et partages

 

Un jour, au cours d’une de ces longues conversations où le temps s’efface et où l’on se raconte tout sans filtre, je parle avec Heather, je la remercie encore, c’est elle qui m’a soufflé le nom de ce livre précieux.

 

Je lui confie tout, avec cette sincérité que l’on réserve aux amies : l’invitation de Jim Tree à la cérémonie de la Pipe Sacrée, notre échange en visio, cette lumière nouvelle qui s’est allumée en moi, cet espoir que je croyais perdu.

 

On parle alors de mon parcours depuis le début de cette quête un peu folle pour la Pipe Sacrée. Je lui évoque une pièce essentielle de l’histoire : Thomas.

 

Thomas, c’est l’homme que Grandmother Medicine Song avait choisi pour fabriquer ma Pipe Sacrée, celui qui a façonné celle de Satya. Mais voilà, depuis qu’il a déménagé en Arizona, plus personne n’a de ses nouvelles. Heather avoue ne pas savoir s’il continue encore à fabriquer des Pipes Sacrées. Elle sourit, puis me glisse comme ça, en toute simplicité :

« Tiens, voilà l’email de Thomas. On ne sait jamais, si un jour tu veux lui écrire directement… »

 

Je souris à mon tour, je la remercie, je garde précieusement ce contact. Peut-être qu’un jour, quand le moment sera juste, je lui écrirai.

 

Dans ce même élan, je réserve un billet d’avion pour Miami. Il est temps pour moi d’aller retrouver Grandmother Medicine Song. Peut-être pourrons-nous, ensemble, éclaircir cette histoire de Pipe Sacrée, ce chemin encore mystérieux, ce désir qui ne cesse de grandir.


Une nouvelle gardienne

 

Peu de temps après, je reçois une nouvelle invitation de Jim Tree pour participer à une cérémonie de la Pipe Sacrée. L’atmosphère est douce et respectueuse. Je reconnais certains visages croisés lors de la précédente cérémonie. Peu à peu, je découvre la communauté qui entoure Jim.

 

J’ai souvent perçus les cercles comme des miroirs subtils : ils reflètent l’âme de celui ou celle qui les appelle. Comme si l’Esprit qui habite un homme-médecine se déployait doucement dans l’espace, imprégnant la rencontre de sa sagesse silencieuse. Autour de Jim, cela se manifeste avec une grande justesse. Les êtres qui l'entourent portent cette vibration : de la simplicité, de l’authenticité, une présence nue, sans artifice. On sent que le cœur a sa place ici. Que la parole est vraie. Et que la relation se tisse depuis un endroit profond. Cela me touche, comme une reconnaissance invisible de ce que je cherche depuis longtemps.

 

Quelques jours plus tard, lors d’une autre conversation avec Jim, il me parle de Martha, une femme gardienne d’une Pipe très particulière :  Grandmother Moon Pipe, une Pipe de femme. Ce n’est pas une Pipe ordinaire, mais un héritage sacré, né d’une vision reçue par la grand-mère de Jim. Une Pipe dédiée aux femmes, liée au cycle lunaire, à la force de la lune et des lunes.

 

Jim me parle de Martha avec chaleur et douceur, évoquant un cercle de femmes où règne bienveillance et convivialité. « J’ai l’impression que les femmes s’y amusent bien », me confie-t-il avec un sourire dans la voix. Il sent que cet espace pourrait être pour moi un lieu d’accueil et de partage.

 

Il me propose alors de parler de moi à Martha, et m’invite à la contacter directement, via Facebook.

 

Quelques heures plus tard, un message s’affiche dans ma boîte de réception : c’est Martha. J’intègre ce cercle virtuel, ce groupe Facebook, comme une nouvelle porte qui s’ouvre doucement vers un autre monde, une autre famille.


Une cérémonie de la Pipe Sacrée au féminin

 

Le lendemain, tout bascule.

 

Grandmother Medicine Song fait une chute. Une mauvaise chute. Sa cheville est brisée en plusieurs morceaux. L’enseignement que je devais recevoir d’elle le jour suivant est annulé.

 

Sur le moment, je suis secouée. Inquiète pour elle, et un peu déboussolée. Mais je perçois aussi, en filigrane, ce léger déplacement du destin, cette manière subtile qu’a la vie de réorganiser les chemins sans prévenir.

 

Ce contretemps ouvre soudain une disponibilité. Et dans cet espace laissé vacant, une autre invitation m’attend. Je peux rejoindre la cérémonie de la Pipe Sacrée avec Martha.

 

C’est ma première cérémonie avec elle… et ma première plongée dans ce cercle de femmes. Très différent de celui de Jim Tree. Ici, c’est un autre langage, une autre vibration. Plus intime. Plus rond. Plus féminin.

Dans ce cercle, on parle, on échange, on se confie. Les femmes s’ouvrent les unes aux autres avec douceur, simplicité, parfois avec humour. Il y a quelque chose de profondément réconfortant, presque ancestral dans cette manière d’être ensemble. Cela me rappelle les huttes de lune, ces espaces sacrés où les femmes, autrefois, se retiraient pour saigner, prier, partager, pleurer, rire. Ce cercle porte cette mémoire-là, en silence, dans les gestes, dans les mots.

 

Je souris, après tant d’attente, tant de prières, tant de détours… Une voie s’ouvre. Doucement. Humblement. Mais elle est là. Je suis emplie de gratitude pour ce cadeau que l’Univers m’offre. Et dans cette gratitude, Jim Tree est là. C’est lui qui m’a tendu le fil vers Martha. C’est lui qui a ouvert cette nouvelle porte.


Sous la lumière vibrante d’une pleine lune, quatre femmes occidentales se tiennent en cercle autour d’un feu sacré. Vêtues de robes chamaniques aux teintes douces et profondes, elles se transmettent avec révérence la pipe sacrée de la lune. La fumée s’élève en volutes spiralées, révélant des formes d’animaux-esprits et des constellations dans le ciel étoilé. Autour du feu, cristaux lumineux et racines en spirale témoignent de la connexion entre Terre et Ciel, entre féminin sacré et sagesse ancestrale. Ce dessin visionnaire nous invite à honorer les traditions avec humilité et à célébrer le cercle comme espace de guérison.
Les gardiennes de la lune sacrée

La traversée du deuil

 

L’état de santé de Grandmother ne fait que s’aggraver.

Je suis inquiète.

 

Une semaine après sa chute, Grandmother Medicine Song « dropped her robe ».

Elle a quitté son corps, comme les anciens Hopis le disent, pour s’élever vers les étoiles.

 

J’écris à Jim, qui m’annonce qu’il fera, le quatrième jour, une cérémonie pour l’accompagner dans son passage, comme le veut la tradition Hopi.

 

Une fois de plus, je suis touchée par sa délicatesse. Dans cette attention simple, Jim manifeste une grandeur d’âme. Sa fidélité à honorer les rites et ses engagements envers le monde des Esprits révèlent un cœur vaste et généreux. Cette annonce me ramène au sacré du cycle de la vie, à l’immensité du vide que son absence crée, mais aussi à la continuité du lien invisible qui unit les êtres au-delà du voile.

 

Et je repense à cette rencontre avec Jim, quelques semaines avant le départ de Grandmother. Il y a dans cette synchronicité quelque chose qui me bouleverse encore aujourd’hui. Comme si l’univers, dans sa sagesse secrète, avait déjà commencé à tisser une nouvelle forme de guidance. Comme s’il avait placé Jim sur ma route pour que je ne sois pas orpheline. Pour que la voix des anciens continue de murmurer à mon oreille. Pour que la mémoire du sacré reste vivante, incarnée, transmise.

 

Je suis dans la tristesse du deuil.

Un deuil qui n’est pas qu’une douleur, mais un passage.

Une onde profonde qui traverse tout mon être.

Il y a le choc, la solitude, les larmes.

Il y a aussi cette forme de paix étrange, celle de savoir qu’elle est libre.

 

Son corps, si courageux, s’est reposé.

Son âme, si vaste, s’est libérée.

 

Le silence qu’elle laisse derrière elle n’est pas un silence vide.

Il est peuplé d’échos, de souvenirs, d’enseignements.

Il me parle dans le vent, dans le feu, dans les étoiles.

Il me demande de l’écouter autrement.

Il me pousse à accueillir l’absence comme une autre forme de présence.

 

(Une version plus longue de cette traversée est partagée dans mon article

 

Un voyage réorienté par l’invisible

 

Malgré le départ de Grandmother, je décide de maintenir mon voyage.

Je ne peux pas me faire rembourser le billet… mais surtout, quelque chose en moi dit : « Vas-y quand même ». Je sens que, même si ce voyage ne sera pas celui que j’avais imaginé, je suis appelée à le vivre. Je choisis de faire confiance. Je me dis que je serai guidée. Et dans ce nouveau vide laissé par son absence, j’ai la sensation subtile que Grandmother sera là, autrement. Présente dans les signes, dans les rencontres, dans les synchronicités.

 

Alors je m’ouvre.

Je me mets à l’écoute.

J’accueille le changement de cap.

J’ouvre grand mes sens intérieurs pour discerner ce qui semble juste.

 

Durant une cérémonie de la Pipe guidée par Martha, ma deuxième avec elle, une évidence m’habite : « Je dois aller à Los Angeles la rencontrer en personne. »

Je lui écris peu après.

Elle me répond avec chaleur et simplicité.

Elle m’accueillera avec joie. Je suis ravie.

 

Doucement, un nouveau fil s’ouvre.

Un fil guidé, tissé d’âmes et de présences.

 

Je décide de commencer par Miami, pour retrouver des amis de mes parents que je n’ai pas vus depuis mes 5 ans. Puis de remonter vers le nord de la Floride pour rencontrer Lee, la collaboratrice fidèle de Grandmother. Enfin, je traverse le pays jusqu’à Los Angeles. Pour aller à la rencontre de Martha, et retrouver aussi une amie de longue date.

 

Dans cette organisation nouvelle, les choses se dessinent avec une certaine synchronicité, une grande beauté. Comme si l’univers, à travers chaque étape, me disait : « Tu n’es pas seule ».

 

Une rencontre en chair et en cœur

 

Nous retrouvons Martha dans la petite ville de Californie.

Un lieu charmant, entre mer et collines, baigné de lumière douce. Mon amie de longue date m’accompagne. Nous nous retrouvons toutes les trois autour d’un déjeuner au restaurant.

 

Je les laisse beaucoup parler.

Je préfère écouter, observer.

Observer Martha, sa manière d’être, sa posture, son regard.

Je sens que, comme moi, elle sent, perçoit, pèse chaque mot.

Entre nous, il y a d’abord une forme de retenue. Comme deux femmes porteuse de médecines qui se rencontrent pour la première fois et cherchent à sentir : Où est l’autre ? Quelle place tient-elle dans le cercle du sacré ?

 

Je lui ai apporté un Tabac de la jungle amazonienne, un Tabac que j’ai porté avec soin tout au long du voyage, pour lui offrir. Durant ce périple, à chaque étape, j’ai fait des offrandes de Tabac.

Pour remercier les Esprits, pour remercier Grandmother, pour appeler sa guidance. C’est l’Esprit du Tabac qui m’a portée, soutenue, éclairée sur ce chemin entre visible et invisible.

 

Au fil des heures et des échanges, la distance s’efface.

Les mots circulent.

On se découvre.

Nous partageons sur nos chemins, sur notre manière de servir, sur notre relation au sacré.

Chacune essaie de marcher avec harmonie et justesse, dans l’humilité et le respect des traditions.

 

Nous parlons aussi des fissures, des défis, de ce qui est encore en mouvement.

Nous ne cherchons pas à paraître parfaites.

C’est une rencontre vraie, où l’on écoute et où l’on ose dire.

Entre nous trois, un espace de sincérité s’ouvre.

On rit. On écoute. On se respecte.

 

Puis vient le moment de se dire au revoir.

On ne sait pas ce que l’avenir tissera.

Mais la rencontre a eu lieu.

Elle a été offerte, accueillie et honorée.

 

Un appel intérieur

 

À mon retour des États-Unis, nous partageons un moment Martha et moi en visio.

Notre rencontre a ouvert un nouvel espace entre nous. Quelque chose s’est tissé ce jour-là, un fil de confiance, une reconnaissance silencieuse. Ce n’est pas encore un lien ancien, mais il est là, solide et humble.

 

Durant notre échange, elle m’invite à venir à Pipestone, sur la Terre Rouge, pour un rassemblement autour de la Pipe Sacrée. Je souris, touchée par l’invitation.

Je lui dis, presque en laissant l’Esprit répondre à ma place : « Pourquoi pas ? »

Je lui demande le nom de l’aéroport le plus proche, curieuse, intriguée.

 

Après notre conversation, je regarde les billets d’avion. Les prix sont bien au-dessus de ce que je peux me permettre. Alors, je referme doucement la porte.

 

Mais sans le savoir Martha a planté une graine. Cette simple invitation a réveillé quelque chose en moi, une envie profonde de continuer à marcher avec la Pipe Sacrée. Comme si l’Esprit avait murmuré, à travers elle : « Ce n’est pas la fin, c’est le début. »


Dans l’écrin verdoyant de la jungle amazonienne, un tabaquero péruvien entre en communion avec l’esprit du tabac. Assis en silence, il souffle lentement la fumée d’un mapacho sacré, tissant des volutes dans l’air chargé de mystère. De cette fumée naît une présence éthérée, une figure masculine et puissante, à la fois sombre et protectrice — gardien invisible, esprit ancien aux yeux profonds, portant les marques du temps et de la mémoire. Le dessin capture l’instant suspendu où la frontière entre le monde visible et l’invisible s’efface, dans l’écoute subtile de la plante maîtresse.
Le gardien de la plante sacrée

La dernière pièce du puzzle

 

Depuis ma rencontre avec Martha, quelque chose a changé.

La Pipe Sacrée n’est plus une vision lointaine ou un écho du passé.

Elle est là, tout près…

 

Mais une question demeure.

Une pièce manque au tableau.

Et elle ne se trouve ni aux États-Unis, ni dans mes récentes rencontres.

 

Car il y a presque deux ans, lors d’un séjour au Pérou, le Tabac m’a été retiré.

Un guérisseur, Tabaqueros, m’a dit que je ne pouvais plus toucher au Tabac.

Que si un jour je souhaitais le réintégrer dans ma vie, il faudrait retourner le voir.

C’est lui qui demanderait à l’Esprit du Tabac s’il est possible, ou non, de renouer ce lien sacré.

 

Depuis, ses paroles résonnent comme une prophétie suspendue.

Je sens que le moment est venu d’écrire ce mail.

De faire le pas.

De poser simplement la question : « Puis-je remettre le Tabac dans ma vie ? »


Je veux lui expliquer

Mon appel à être gardienne de la Pipe Sacrée.

Que j’ai respecté toutes les restrictions qu’il m’a imposé depuis deux ans.

Et aussi ce ressenti tenace : celui que le chemin reste bloqué, peut-être justement parce que je dois d’abord recevoir l’accord du Tabac. Pas un simple accord symbolique, mais un vrai passage. Un rite intérieur.

 

Je tends la main vers cette dernière pièce du puzzle.

J’envoie mon mail dans l’espoir que le Tabac donnera sa permission.

 

À SUIVRE…

 

 

Partage ton expérience, ton ressenti, ton chemin en commentaire. C’est ensemble que nous tissons les prières du monde et que nous apprenons à marcher dans la justesse, le respect et le lien sacré.

 

Pour aller plus loin

 

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Il est encore temps d’apprendre à écouter et de se souvenir que tout ce qui vit peut nous enseigner.

 

 

 
 
 

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